Le bilan global de l'équipe amiénoise

Le bilan de la phase

Une phase Unbelievable, Amazing, I’m so glad!!!. Oui, moi aussi j’aime beaucoup regarder les actrices américaines lors de la cérémonie des Oscars.

Arnaud SELLIER m’aurait dit au mois de septembre qu’on finirait 3^ème de R1, j’aurais appelé le Procureur de la République pour le faire interner et déclencher son Placement d’Office. Arnaud serait actuellement encore en Quartier de Haute Sécurité, enchaîné, attendant sa lobotomie.

Mais on a effectivement fini 3^ème. Et en plus, au goal-average (premiers ex aequo avec Breteuil et Compiègne aux points). Et c’est toute l’équipe qui va être internée. A part Christian ; ne mélangeons pas travail et loisir. Car on avait fini par y croire.

L’équipe n’aura raté la montée que d’un set. Et rétrospectivement vraiment plus contre Breteuil que contre Compiègne (10/9 pour nous, les gentils, et 2 sets partout dans l’ultime match). Dommage. Presque. Ce sont les méchants qui montent.

Car maintenant la deuxième phase s’annonce quand même très très compliquée…

Les satisfactions

- Une phase stratosphérique avec 5 victoires (Clermont, Villers Saint Paul, Breteuil 2, Abbeville, Saint Quentin), 1 nul (Breteuil 1), et seulement 1 défaite (Compiègne).

- On finit invaincu en A. Juste un nul sur les compiégnois. Mais non. On avait dit qu’on ne parlerait plus du match contre Compiègne.

- On finit invaincu en double en A. Avec Pierre et Denis, les Igor et Grichka BOGDANOV de la R1.

- J’aurais bien aimé écrire la même chose pour la B.

- On a lancé la carrière d’Antoine HUON. Un jour, au coin du feu, interviewé par Gérard HOLTZ, devant ses coupes et médailles de Champion Olympique et de Champion du Monde, il se souviendra de nous et de cette saison en R1.

Nota bene :  J’ai peut-être eu une absence, mais je n’ai pas vu beaucoup d’équipes picardes de R1 intégrer un cadet 1^ère année, classé 12. Notamment sur les matchs de montée.

Le bilan des dix fantastiques

En A

Cédric HERMANT (71% de victoires): Plus fort que Sylvester STALLONE dans Rocky IV. Plus endurant que Mickey ROURKE dans The Wrestler. A encore haussé son niveau de jeu dans le money time, notamment sur les 3 dernières rencontres. Maillekeul JORDAN n’aurait pas fait mieux. A malheureusement raté son dernier panier à 3 points contre Compiègne.

Denis CHATELAIN (83% de victoires) : A attendu le dernier set du dernier match de la dernière rencontre pour effectuer sa première contre de la phase. En plus sur le match de montée. La réaction du champion.

Pierre LE GALLOUDEC (33% de victoires) : Arrivé depuis peu en Picardie. Et déjà de nombreux amis sur Facebook, et dans les clubs britulien et abbevillois. Pense également se présenter aux présidentielles de 2012. Un score de 33% et il sera au second tour.

En B

Christian HENON (76% de victoires) : Victime d’un accident vasculaire cérébral juste avant que ne débute le championnat. Seule la zone du lobe frontal antérieur droit a été atteinte. Elle commandait malheureusement l’orientation temporo-spatiale, et devait le guider de chez lui à la salle d’entraînement. Il aurait atteint 100% de victoires en première phase. Pas intéressant. Préfère se laisser un challenge pour la seconde phase.

Philippe L’HOTE (50% de victoires) : Victime également d’une congestion cérébrale, mais lui, juste avant que ne débute les gros matchs sur les clubs du Top four. La zone du lobe temporal gauche a été atteinte. Dommage, elle commandait la mobilité du bras droit. Il s’est atrophié à partir du match contre Abbeville. Le syndrome du petit bras. Ou syndrome de L’HOTE, caractérisé par une courte moyenne de 1 victoire par rencontre. Monsieur L’HOTE fait toujours les choses à moitié : 50% de victoires, 50% de de perf, 50% de contres.

Antoine HUON (22% de victoires): Un dur apprentissage. Mais la R1 c’est l’école de la vie. A condition d’en sortir. Encore souvent en mode Caliméro. Mais ne tardera pas à briser sa coquille pour élever encore son niveau de jeu. Et s’envoler vers des sphères équipières plus élevées.

Les remplaçants

Christophe HARLE et Jean TAQUET en A (100% de victoires) ; Bruno MARYSSE en B et Vincent RASSELET en A (66% de victoires) : Les prendre dans ton équipe c’est un peu comme les grands films d’action américains. Ça castagne, ça pulse, ça explose. Et à la fin ce sont toujours les gentils qui gagnent.